De façon générale ces préconisations traitent les trois sujets suivants :
1) Les opérations de communication
Dans un premier temps, la préconisation aborde le sujet principal : quelles opérations de communication faudrait-il mener ? Quel est le plan de communication ? Quels canaux seront utilisés et pourquoi ? Quels supports et quels formats ?
Ces opérations de communication concernent les canaux classiques (avec les médias traditionnels) mais aussi tout le reste : le marketing direct, les éventuels partenariats de visibilité, le développement des relations publiques, etc.
2) Le budget à prévoir
Dans un second temps, la préconisation fait suite aux opérations de communication et détermine le budget à prévoir.
3) Le rétroplanning
Enfin, dans un troisième temps, la préconisation aborde la notion temporelle et détaille la façon dont les opérations de communication devraient se dérouler dans le temps.
Un rétroplanning est donc créé. L’avantage du rétroplanning est de pouvoir lister l’ensemble des tâches (mêmes minimes), de l’assigner à des personnes précises, et de les classer afin de s’assurer qu’elles sont dans le bon ordre. En effet, certaines tâches ne peuvent pas être lancées sans que d’autres aient déjà été terminées, car elles se suivent. La création d’un rétroplanning permet d’anticiper tout cela et d’avoir une vue d’ensemble réaliste sur les échéances du projet.