Méthode - La note sur dossier

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1 - Faire une première lecture du sujet pour préparer sa prise de notes

> 15 minutes

A - Lire la commande

Cette première étape consiste à comprendre ce qui vous est demandé par le destinataire de la commande. Pour y parvenir, il vous faut analyser cette commande. Or une commande comprend toujours deux séries d’informations :​

- le contexte vous indique :

  • votre positionnement au sein d’une collectivité ou d’un établissement public,​
  • sa taille et un nom imaginaire,
  • les raisons supposées qui poussent le destinataire à vous passer commande ;

- la consigne vous indique précisément ce qui vous est demandé : rédiger une note sur un thème précis, c’est-à-dire fournir toutes les informations nécessaires au destinataire pour l’aider dans sa prise de décision.

Sans utiliser systématiquement la méthode QQOQCCP, vous pouvez néanmoins par cette analyse répondre aux questions suivantes qui vous aideront à bien comprendre ce que vous avez à faire :

  • Qui suis-je et qui est le destinataire de ma note ?​
  • Sur quoi porte ma note ?
  • Dans quel type de collectivité ou d’établissement public suis-je ?
  • Quel est le contexte temporel qui justifie le sujet (texte de loi récent, événement particulier, etc.) 
  • Comment vais-je organiser ma note ? (Y a-t-il des thématiques indiquées dans la commande ?)
  • De combien et de quel type de moyens est-ce que je dispose ? (La commande m’oriente-t-elle vers des solutions ?)
  • Pourquoi le destinataire me demande-t-il cette note ? Quel est le contexte local précisé dans la commande ?

B - Lire le sommaire

Le sommaire est constitué de la liste des documents du dossier (en général, entre 6 et 10). Pour chaque document vous sont fournis : 

  • son titre ;​
  • le nom de son auteur ;
  • sa source ;
  • sa date de parution ;
  • son nombre de pages.

C - Lire en survol le dossier

Le dossier contient entre 20 et 30 pages. Le survoler consiste à lire les aspérités qui vous « sautent aux yeux » telles que :

  • titres et sous-titres ;​
  • chapeaux, encadrés résumant le document ;
  • phrases en caractères gras ou en italique ;
  • débuts ou fins de documents qui, parfois, en offrent également un résumé.



D - En déduire les thématiques constituant le dossier

Un dossier de concours ou d’examen professionnel est toujours organisé de manière à ce que les candidats puissent en restituer l’essentiel à partir d’un plan simple et cohérent. La liste des thématiques est composée de 6 à 8 axes qui structurent le thème du dossier :

  • des définitions ;​
  • des enjeux ;
  • des objectifs ;
  • des problèmes ;
  • des informations juridiques ; 
  • des constats ;
  • des exemples ;
  • des moyens techniques, humains, économiques, organisationnels.

Votre première lecture du « sujet » va donc vous permettre de mettre à jour, parmi cette douzaine de thématiques possibles, 6, 7 ou 8 d’entre elles qui constitueront votre prise de notes.

E - En déduire votre ordre de lecture des documents du dossier

À l’aide de cette première lecture, vous allez également trouver une organisation de lecture du dossier qui ne sera pas fondée sur l’ordre des documents fournis mais sur vos choix personnels, c’est-à-dire professionnels.

Ainsi, vous déciderez de commencer par un document indiquant les enjeux du thème du dossier, ou bien par un document décrivant les problèmes à l’origine de la loi dont vous avez à expliquer les objectifs, etc.

Important : L’ordre de lecture du dossier est beaucoup moins important que la mise à jour de vos axes de prise de notes.

Paroles d'un auteur de sujet

Quand je crée un sujet de concours, je rédige toujours la commande après avoir constitué le dossier. Le dossier, je l’élabore pour qu’il permette aux candidats de trou- ver un plan pour leur note. La commande, je la rédige pour qu’ils y trouvent quelques informations qui les guident. Hélas, en tant que correcteur, j’ai souvent l’impression que les candidats lisent trop vite la commande. Du coup, ils « foncent » dans le dossier, oubliant ce qui leur est demandé !

​2 - Prendre des notes pour restituer l'essentiel

> 70 minutes 

A - Distinguer l'essentiel de l'inutile : un travail de fond

C’est certainement durant cette deuxième étape que vous êtes le plus rédacteur, le plus cadre B. En effet, il n’y a plus vraiment de méthode pour vous guider car il vous appartient, à vous et à vous seul, de décider de ce qui sera utile à la prise de décision du destinataire.

Et pour y parvenir, vous ne pouvez vous fonder que sur : 

  • votre culture du monde territorial ;​
  • votre expérience professionnelle ;
  • vos capacités d’analyse et de synthèse ;
  • votre capacité à décider.
Voilà pourquoi il vous faut beaucoup lire, échanger, réfléchir durant votre préparation. Car, quelle que soit votre méthode le jour J, aucune n’aura pu, à l’avance, vous expliquer la manière de sélectionner une information et d’en rejeter une autre.

Dès lors, plus vous aurez lu les revues professionnelles de l’année précédant le concours, plus vous aurez analysé les textes juridiques relevant du monde territorial en général (et de votre spécialité en particulier pour les concours interne et de 3e voie), plus vous aurez alors l’habitude de distinguer dans un document ce qui est essentiel de ce qui ne l’est pas.


B - Savoir prendre ses notes efficacement : un travail de forme

Distinguer l’essentiel de l’accessoire est une chose, savoir prendre des notes en est une autre. Là également, un entraînement est indispensable. Vous ne devez ni « recopier » des phrases entières du dossier, ni « pré-rédiger » votre développement.
À l’inverse, si vous ne notez qu’un ou deux mots par information essentielle, vous risquez de ne plus vous en souvenir et donc de ne pas pouvoir rédiger.


À vous donc de vous entraîner à prendre des notes et pas seulement à lire vite et bien. Les 70 minutes à consacrer à la lecture et à la prise de notes passent très vite et c’est à cette étape que beaucoup de candidats sont éliminés, du fait d’une mauvaise gestion de leur temps.

Paroles de formateur

Je propose toujours à mes stagiaires de laisser leur prise de notes dans leur copie car son analyse me permet de mieux en comprendre les points forts et les points faibles. Or, je constate chez un certain nombre de candidats une incapacité à prendre des notes rapidement et claire- ment. Le contenu est efficace, mais pas le contenant. 

Résultat : une perte de temps de 10 minutes qui fait boule de neige et un devoir inachevé !

Entendons-nous bien, le jour du concours, les brouillons ne sont jamais ramassés. Mais, lors d’une préparation, ils constituent une aide pédagogique souvent utile pour faire progresser mes stagiaires.

3 - Élaborer le plan de votre note

A - Mettre vos thématiques dans un ordre logique

La première étape de l’élaboration de votre plan consiste à mettre les thématiques trouvées et remplies précédemment dans un ordre logique. Vous trouverez cet ordre en vous fondant sur votre bon sens !

Par exemple, mettez d’abord les enjeux du dossier puis des définitions suivies du cadre juridique. Viendront ensuite les leviers d’action qui pourraient être fondés sur des moyens humains, puis organisationnels. Une organisation logique pourrait s’achever sur les limites mises à jour durant votre lecture.

Voilà donc un exemple de 6 axes trouvés lors de la première étape de cette méthode qu’il est simple de mettre dans un ordre logique.

Méthode : L’ordre n’est pas toujours le même : parfois, vous déciderez de commencer par le cadre juridique ou par les problèmes soulevés dans le dossier. Tout dépendra des thématiques trouvées, du contenu du dossier et, une nouvelle fois, de votre bon sens.

B - Regrouper vos thématiques en 4 sous-parties et donc en 2 grandes parties

Une fois vos thématiques mises dans un ordre logique, il vous suffit de les regrouper en 4 sous-parties. Ce nombre de 4 sous-parties est vivement recommandé car il est attendu par les correcteurs.

Cette fois, ce n’est plus votre bon sens qui vous y aidera mais votre prise de notes. Vos 4 sous-parties doivent en effet être équilibrées du mieux possible. En regardant le contenu de votre prise de notes dans chaque thématique, vous en déduirez « le poids » des sous-parties à venir.

En reprenant l’exemple précédent, vous pourriez regrouper dans des sous-parties des thématiques telles que :

  • les enjeux et les définitions ;​
  • puis (si son poids est conséquent) le cadre juridique ;
  • les moyens humains ;
  • les moyens organisationnels complétés par les limites.

Il ne s’agit là que d’un exemple, mais il vous permet de constater (sans même avoir encore lu un dossier) que bon sens et méthode permettent de structurer une note de manière à la fois simple et efficace.

D’autant plus que, une fois vos 4 sous-parties trouvées, il devient évident de regrouper les 2 premières sous la forme d’une première grande partie et les 2 dernières dans une deuxième grande partie. Et le tour est joué : vous avez un plan simple et équilibré.

Paroles de candidate

Cette méthode peut surprendre par sa simplicité. Et pourtant, elle fonctionne ! J’ai longtemps été bloquée par la recherche d’un plan car j’oubliais d’être logique. Je cherchais systématique- ment mes deux grandes parties, puis les sous-parties, ce qui transformait souvent mon développement en fourre-tout.

Avec cette méthode, je me sens à la fois guidée et plus sûre de moi, ce qui m’a permis de réussir mon écrit de rédacteur.​

​C - Rédiger vos 4 sous-titres et vos 2 titres

Avec cette étape, vous quittez en partie le travail du plan pour entrer dans la rédaction car vos premières phrases rédigées porteront sur les sous-titres et les titres. Pour ce faire, voici la méthode proposée :

  • dans un premier temps, numérotez les informations de votre prise de notes portant sur votre première sous-partie en les mettant dans un ordre logique. Là encore, faites appel à votre bon sens : qu’est-ce qu’il vous paraît essentiel de porter d’abord à l’attention de votre destinataire ? puis quelle deuxième information ? quelle troisième ? Etc. ;
  • dans un second temps, une fois la logique de votre première sous-partie mise en place, rédigez votre premier sous-titre qui en « résumera » le contenu.

Et pour rédiger un sous-titre, utilisez là encore une technique simple. Servez-vous : 

  • du vocabulaire du dossier ;
  • du vocabulaire du cadre B ;
  • du vocabulaire soutenu.
Exemple
Si vous voulez décrire des enjeux, des définitions, un cadre juridique, des problèmes, des objectifs, vous utiliserez essentiellement des noms et des adjectifs. Par exemple : « Des marges budgétaires restreintes. »
Si vous voulez expliquer les moyens à mettre en place, vous vous servirez davantage de verbes à l’infinitif complétés par des noms sous la forme de compléments du verbe. Par exemple : « S’appuyer sur un management transversal. »​

Faites le même travail pour le titre de la deuxième sous-partie, puis pour le titre de votre première partie et réitérez les mêmes opérations pour les deux autres sous- titres et le dernier titre.

Paroles de correcteur

Quand j’évalue une copie, je commence toujours par la feuilleter et par lire les titres et les sous-titres. Grâce à eux, j’ai une première idée du contenu du devoir en termes de compréhension du dossier par le candidat. 

Ainsi, je vois assez vite​si la note mérite au moins la moyenne, voire bien plus, ou si, malheureusement, l’insuffisante logique d’ensemble et le manque de clarté des titres et des sous- titres risquent d’entraîner une note inférieure à 10/20.

​4 - Rédiger l'introduction 

> 10 minutes

A - Le contenu d'une introduction

Pour rédiger votre introduction, nous vous conseillons de préparer un tableau avec 5 entrées que vous remplirez :

  • à l’aide du dossier pour les 3 premières entrées ;​
  • à l’aide de votre compréhension du dossier pour les 2 dernières entrées. 

Ce tableau peut se présenter sous la forme suivante :

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B - Le contenu de chaque entrée

1) La justification du thème du dossier

Il s’agit de répondre à la question suivante : pourquoi la thématique du dossier est-elle importante dans la période du concours ? La réponse est dans le dossier : il peut s’agir d’un contexte général (l’augmentation du nombre de personnes âgées) ; d’un événement particulier (un risque terroriste accru) ; d’un texte de loi récent...

2) Le thème du dossier

Il est toujours indiqué dans la commande sous la forme d’une consigne qui est souvent : c’est pourquoi il vous demande de lui rédiger une note, « exclusivement à l’aide des éléments du dossier, sur... » Ce qui suit vous donne le thème du dossier.

Exemple 

Dans cette perspective, la directrice des services à la population vous demande de rédiger à son attention, exclusivement à l’aide des documents joints, une note sur la tarification des services publics locaux » (concours externe de rédacteur, session 2019).

3) Le contexte de la commande

Certains sujets précisent le contexte à l’origine de la commande.

Exemple 

« Vous êtes rédacteur territorial à la ville d’Admiville, qui compte 22 000 habitants. Interpellés par des administrés sur la question du prix pour l’usager de certains services publics communaux, les élus souhaitent remettre à plat la politique tarifaire de la collectivité. 

Dans cette perspective, la directrice des services à la population vous demande de rédiger à son attention, exclusivement à l’aide des documents joints, une note sur la tarification des services publics locaux » (concours externe de rédacteur territorial, session 2019).

​Si renseigner ces trois entrées se fait à l’aide du dossier, les deux dernières lignes de votre tableau se fondent, elles, sur votre compréhension du dossier.


4) La problématique du dossier

Ne soyez pas inquiet devant ce mot car la définition de la problématique d’un dossier
est simple. La problématique d’un dossier est :

  • le résumé du dossier en une phrase ;​
  • la réponse à la question : qu’ai-je compris de ce dossier ? 
  • le point de vue du dossier sur le thème du dossier.

Il s’agit donc d’une réponse et non d’une question !

Exemple

« L’ouverture des données publiques s’inscrit dans un cadre réglementaire précis propice à une information plus large des citoyens. »

5) L'annonce du plan

​Il vous faut clairement informer le destinataire des 2 grandes parties de votre plan uniquement. N’indiquez pas vos sous-parties, car votre annonce de plan deviendrait confuse. Pour annoncer vos 2 parties, faites simple.


Exemple

« C’est pourquoi, dans la première partie, nous analyserons le cadre juridique du dispositif d’accueil pour, dans la deuxième partie, présenter les dispositions à prendre. »​

Paroles de correctrice

Trop souvent, je découvre des introductions « fleuves » qui dépassent large- ment la quinzaine de lignes maximum ! Des informations y sont développées alors que je les attends dans le développement. À l’inverse, le cadre légal est oublié alors qu’il est essentiel pour un cadre B.

5 - Rédiger une conclusion ? 

> 5 minutes​

C’est une réelle question à vous poser. Certes, les notes de cadrage la rendent facultative. Mais elle est parfois recommandée dans les indications de correction.

Nous vous conseillons d’en rédiger une. Mais elle doit tenir en 5 lignes maximum voire moins et, surtout, être professionnelle !

Résumer le contenu de votre développement dans une conclusion n’apporte rien au décideur et relève plus d’un exercice de forme. Alors que, si vous insistez sur une des informations les plus importantes de votre développement en termes de « garde-fou », votre conclusion sera utile. C’est pourquoi elle peut parfaitement tenir en 2 ou 3 lignes.

Exemple

« Si ouvrir les données au public est un gage de démocratie, il n’en demeure pas moins que notre collectivité devra prendre toutes les mesures de sécurité en matière d’intrusion informatique. »

Paroles de correcteur

Si j’essaye de ne pas pénaliser un candidat qui n’a pas rédigé de conclusion, j’avoue que j’aurai tendance à valoriser une copie qui en contient une à partir du moment où elle m’aidera à mieux décider si j’étais le destinataire réel de la note.

​6 - Rédiger le développement

> 55 minutes

A - Rédiger le timbre de la note

Toutes les épreuves de note, quelle que soit la catégorie d’ailleurs, imposent de remplir un timbre. C’est un exercice qui ne vous prendra que quelques secondes. Mais l’oublier pourrait vous pénaliser d’un demi-point, voire d’un point !

Les notes de cadrage donnent toutes un modèle à remplir. Le voici afin que vous constatiez sa simplicité :

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B - Adopter un style facile à lire

N’oubliez pas que les deux correcteurs vont lire votre note au milieu d’une centaine
d’autres. Il vous faut donc leur faciliter la tâche. Pour ce faire :

  • adoptez un style simple, c’est-à-dire fondé sur des phrases courtes. Rappelez-vous qu’une phrase courte doit contenir entre 15 et 20 mots ;​
  • utilisez (comme pour les sous-titres et les titres) le vocabulaire du dossier ;
  • prenez soin de coordonner vos phrases par des mots de liaison afin de renforcer
    la cohérence de votre propos ;
  • faites des paragraphes : entre 3 et 4 par sous-partie.

C - Rédiger un chapeau entre chaque titre et son premier sous-titre

Un chapeau a pour rôle d’annoncer les 2 sous-parties à venir. Sous la forme d’une phrase ou deux, il met donc en valeur la logique de la partie qui suit. Vous avez donc 2 chapeaux à rédiger.

Exemple

« Face à une demande des usagers de plus en plus forte (A), le législateur a décidé d’ouvrir plus largement les données publiques (B). »

D - Rédiger une phrase de transition

Attendue par les correcteurs, la phrase de transition doit leur être utile en position de décideurs. Leur dire que vous allez passer à la deuxième partie de votre note a moins d’intérêt que si vous justifiez ce passage. De nouveau, la logique a plus de poids que la chronologie.


Exemple

« Le cadre juridique de l’ouverture des données publiques doit s’appuyer sur une démarche sans faille de notre commune. »

Paroles de correcteur

Après avoir sanctionné les candidats n’ayant pas fini leur note, nous devons, mon co-correcteur et moi, encore pénaliser ceux qui n’ont pas su rédiger correctement leur copie. 

De trop nombreux candidats oublient qu’un cadre B aura à rédiger des notes ou des rapports pour sa hiérarchie ou ses collaborateurs. Au-delà du formalisme de l’épreuve, je dois en tenir compte pour sélectionner les futurs cadres de la fonction publique territoriale.

7 - Se relire

> 5 minutes

Cette dernière étape est primordiale car vous pouvez perdre 1 point à partir de 5 fautes, soit à peine une faute par page ! Certes, les notes de cadrage indiquent une pénalité de 2 points à partie de 10 fautes, mais les indications de correction (et certains correcteurs) sont parfois plus sévères !

Méthode : Relisez-vous en partant de la fin de votre note. Remontez ainsi phrase par phrase ou, si vous le préférez, paragraphe par paragraphe jusqu’à votre introduction. Vous « casserez » votre regard sur la logique d’ensemble de votre note et serez ainsi davantage concentré sur l’expression.

Paroles de formatrice

Un grand nombre de candidats est pénalisé par des fautes d’expression trop nombreuses. Mais je constate aussi dans ma pratique professionnelle que beaucoup d’entre eux ne prennent pas le temps de se relire ! C’est donc une mauvaise gestion du temps qui les pénalise.

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