L'essentiel à retenir

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Le conducteur ne doit pas dépasser les vitesses maximales autorisées. Elles sont indiquées sur des panneaux d’interdiction, tout au long du trajet.

Les autoroutes sont limitées à 130 km/h, les routes à accès réglementé à 110 km/h, les voies à double sens de circulation avec terre-plein central à 90 km/h, sans terre-plein central à 80 km/h et les routes en agglomération à 50 km/h. Les jeunes conducteurs doivent abaisser ces limitations de 10 à 20 km/h.

Les vitesses maximales autorisées sont des vitesses à ne pas dépasser. Toutefois, le conducteur ne doit pas systématiquement les atteindre. Il doit adapter sa vitesse aux situations : ralentir avant un virage, en cas de circulation dense, etc.

Plus la vitesse est élevée, plus les risques et les conséquences en cas d’accident sont importants : la force centrifuge dans les virages est accentuée, la production d’énergie cinétique est augmentée et la distance de freinage est allongée.

Conduire trop doucement peut également s’avérer dangereux : c’est le cas notamment sur la voie dédié au dépassement sur l’autoroute : la vitesse minimale est fixée à 80 km/h.

Des radars contrôlent la vitesse des usages : ils peuvent être mobile, fixe ou pédagogique. Des radars de tronçons évaluent également la vitesse des conducteurs sur une portion de route et non uniquement à un instant T.

En cas d’excès de vitesse, le conducteur est en infraction. Il peut perdre jusqu’à 6 points sur son permis, voir son permis suspendu jusqu’à 3 ans et payer une amende allant de 68 à 1500 €.