Je circule dans l’anneau d’un carrefour à sens giratoire, j’ai donc la priorité de passage par rapport aux usagers qui souhaitent s’insérer dans l’anneau. Je ne dois donc pas céder le passage à droite.

Ce panneau indique aux usagers que la chaussée va se rétrécir sur une seule voie de circulation. Ce panneau annonce également la fin d’un créneau de dépassement.

Un véhicule à l’arrière est déjà engagé sur la voie de gauche. Je ne dépasse pas.

Dans cette situation, je peux dépasser la voiture noire devant.

Le panneau du haut marque la sortie de l'agglomération (Remarque : ce n'est pas un panneau de sortie de lieu-dit). Celui du bas indique que ma vitesse restera, malgré tout, limitée à 50 km/h.

L'aménagement que je vais rencontrer ressemble à un rond-point, à 1 détail près : à l'entrée, il n'y a pas de panneau de CÉDEZ-LE-PASSAGE, mais un feu en panne, complété par un panneau de priorité à droite. Les usagers qui circulent sur l'anneau du rond-point doivent donc laisser passer ceux qui veulent y entrer. C'est la priorité à droite au lieu de la priorité à gauche habituelle sur ce genre d'aménagement. Mais cette configuration étant très rare, je dois plus que jamais être prêt à m'arrêter : un usager distrait ou n'ayant pas compris cette subtilité pourrait me couper la route ! De plus, je ne dois pas oublier qu'une fois dans le rond-point, c'est moi qui devrai céder le passage aux usagers qui voudraient y entrer. Réponses : B, et C.

Ce panneau de danger signale aux usagers que des chutes de pierres sont fréquentes et qu’il peut y avoir des pierres sur la chaussée.

La présence possible de pierres sur la chaussée.

Ce panneau de danger signale une succession de virages dangereux dont le premier est à gauche. Je dois donc ralentir afin de ne pas me faire surprendre.

Ce panneau annonce une chaussée glissante.

Mon passager peut me donner de bonnes, mais aussi de mauvaises indications. Dans ce cas, je ne l'écoute pas, car l'arrêt au feu jaune fixe est obligatoire, sauf en cas de danger.

Mon passager me dit que j’ai encore le temps de passer, je passe.

Le panneau sur la voie de gauche est un panneau d’interdiction. Je ne peux donc pas tourner à gauche.

La rue à gauche est en sens interdit. Je ne peux donc pas m’y engager.

Je suis perdu, je peux tourner immédiatement à gauche.

Placé où je suis, je peux continuer tout droit comme l’indique la flèche directionnelle. En revanche, je ne suis pas bien placé pour tourner à droite. En effet, il faudrait que je sois placé sur la voie de droite.

Stationner ainsi n'est pas autorisé. Sauf indication contraire, les trottoirs sont strictement réservés à la circulation des piétons : tout arrêt ou stationnement y est interdit. Pour ma part, je suis stationné à cheval sur le trottoir : les deux roues de droite sont sur le trottoir, et les deux roues de gauche sont sur la route. En stationnant à cet endroit, je gêne également la circulation des piétons, qui sont obligés de descendre sur la chaussée pour contourner ma voiture (surtout avec une poussette ou un fauteuil roulant), ce qui les met en danger. Il est donc normal que les deux voitures soient verbalisées si l'on stationne à cet endroit, même si ma voiture n'est pas totalement sur le trottoir. C'est donc interdit ET gênant.

Le marquage au sol indique que le stationnement est payant. Je dois chercher un horodateur pour m’acquitter du paiement et prévois donc un moyen de paiement.

Pour stationner sur les emplacements à droite de la chaussée, je prévois un moyen de paiement.

Le panneau sens interdit est positionné à droite de la rue de gauche : je peux donc continuer tout droit, mais je ne peux pas tourner à gauche.

Lorsqu'il y a du brouillard, j'augmente systématiquement l'intervalle de sécurité avec le véhicule qui me précède. En laissant une seconde de plus, soit 3 secondes en tout, je réduis nettement le risque d'être surpris en cas de freinage violent, ce qui arrive assez souvent lorsqu'il y a du brouillard. De plus, j'adapte ma vitesse à la visibilité. Si la visibilité est de 50 mètres, je circule à 50 km/h maximum et je laisse un intervalle de sécurité d'au moins 50 mètres. Enfin, j'allume au moins les feux de croisement, voire les feux de brouillard avant et arrière. En aucun cas, j'allume les feux de route, même s'il n'y a personne devant moi.

Je peux me placer sur la voie de gauche seulement pour tourner à gauche en sens unique et pour dépasser. Étant en double sens de circulation et ne dépassant pas, je dois me placer sur la voie la plus à droite.

En marche normale de circulation, je suis bien placé.

Sur le point d'être dépassé, je n'accélère pas, car je mettrais en danger l'usager, qui occuperait la voie de gauche plus longtemps. Étant conducteur et seul maître à bord, je ne dois jamais céder à la pression de mes passagers.

J'ai suffisamment de visibilité pour accélérer.

Mes amis m’incitent à accélérer pour ne pas me faire dépasser.

En cas de stationnement en descente, il est conseillé de diriger ses roues côté trottoir. En cas de défaillance du frein à main, le véhicule aurait moins de risque de percuter le véhicule de devant.

En stationnant en descente, il est conseillé de diriger ses roues :

Ce panneau et les balises, qui l’accompagnent, indiquent au conducteur qu’il doit se placer sur la voie de gauche puisque la voie de droite est en travaux.

Le panneau jaune triangulaire, qui annonce un feu tricolore, est temporaire. Ce feu est installé uniquement pendant les travaux.

La signalisation annonce un feu tricolore :

Le panneau qui indique la direction de LA ROCHELLE se trouve à gauche. Suis-je bien placé pour aller dans cette direction ? OUI. Ces panneaux, qu'on appelle des panneaux de confirmation, sont toujours implantés ainsi à proximité des sorties sur les chaussées à sens unique. Cela ne veut pas dire qu'il faut se placer dans la voie de gauche, sinon une flèche incluse dans le panneau le préciserait. Quant à la sortie, si je souhaite l'emprunter, je dois bien entendu être également dans la voie de droite. Réponses : A, et C.

Le véhicule blanc est à hauteur d’un STOP (marquage au sol), il doit donc s’arrêter et céder le passage aux usagers de l’axe prioritaire.

La voie dans laquelle je circule est temporairement encombrée par des travaux. Cependant, aucun signal tel qu'un feu tricolore de chantier ou un ouvrier ne m'impose l'arrêt. Ces travaux vont sans doute durer un moment, il ne faut donc pas rester là et obstruer davantage la circulation. Dans ces circonstances exceptionnelles, et bien que la ligne à ma gauche soit continue, je la franchis à allure réduite après m'être assuré que je ne vais gêner ou surprendre personne, que personne n'arrive en face, et qu'aucun usager n'est sur le point de me dépasser.

Je suis autorisé à franchir la ligne continue.

Entretenir régulièrement son véhicule diminue sa consommation de carburant, mais émet également moins de CO2, donc pollue moins. Cela permet aussi d’augmenter la durée de vie du véhicule (et non de la réduire !).

L’entretien régulier d’un véhicule réduit :

Que j’entre ou que je sorte d’une place de stationnement, je ne suis pas prioritaire. Je fais donc en sorte de gêner le moins possible la circulation autour de moi et je m’arrête si nécessaire.

En sortie de stationnement, je suis prioritaire.

Il neige. J'allume donc les feux de croisement pour être bien vu de l'avant et de l'arrière. Dans ces conditions, la neige ou le brouillard les rendent à peine assez efficaces. J'ajoute donc les feux de brouillard avant et arrière qui sont plus puissants et visibles de plus loin.

Ce véhicule agricole ne bénéficie pas de la priorité de passage puisqu’il est arrêté à hauteur d’un STOP (marquage au sol). Je ralentis et je passe.

Ce véhicule agricole bénéficie de la priorité de passage.

Je m’arrête mais je ne lui fais signe de passer : je ne sais pas si la voiture d'en face l'a vu et donc si il peut traverser en toute sécurité.

Lorsqu'il n'y a pas d'emplacements de stationnement matérialisés, il est interdit de stationner 5 mètres en amont d'un passage pour piétons. C'est-à-dire AVANT le passage pour piétons dans le sens de l'avancement de ma voiture. Cela évite que la voiture stationnée ne masque un piéton prêt à traverser (notamment un enfant en raison de sa petite taille). Dans la situation N°1, la voiture respecte cette interdiction ; elle est bien stationnée. Dans la situation N°2, il y a un emplacement dédié au stationnement des voitures juste avant le passage pour piétons. Donc, dans ce cas, le stationnement à cet endroit est autorisé (même s'il serait préférable d'aller se garer ailleurs). Réponses : A, et C.

En règle générale, l’arrêt sur un passage piéton est interdit. Mais dans cette situation je peux m'arrêter derrière la ligne de stop, sur le passage piéton, après avoir laissé passer les éventuels piétons (qui ont toujours la priorité). Ici aucun piéton n'a l’intention de s’engager à droite et à gauche, je m’arrête donc au niveau de la ligne de stop.

Dans cette situation (aucun piéton à gauche), je m'arrête :

La signalisation indique que le dépassement est autorisé dans mon sens de circulation. Je peux donc effectuer le dépassement de ce poids lourd.

Le logo bleu présent dans le panneau de direction en haut indique qu’il est possible d’emprunter une autoroute si je prends la prochaine sortie. Or, ce n'est pas obligatoire : les autres panneaux de direction de cette même sortie n'ont pas le logo de l'autoroute ; cette sortie ne m'amène donc pas directement à l'entrée de l'autoroute. Remarque : L’entrée de l’autoroute peut être payante ou gratuite.

En prenant la prochaine sortie, je prendrai obligatoirement une autoroute.

Un panneau d’obligation est bien à fond bleu mais sa forme est ronde. Ici, ce panneau carré a pour fonction de me donner une indication utile à ma conduite, ici, la position d'un passage piéton.

Cette étiquette, obligatoire pour les pneus neufs, me permet de connaître les performances d'un pneu, afin de le comparer à d'autres : <ul><li>Son indice de consommation, à ne pas négliger. En effet, certains pneus entraînent une surconsommation de carburant importante ; </li><li>Son adhérence sur sol humide qui est très importante puisque les écarts observés d'un pneu à l'autre lors de freinages peuvent varier de plusieurs dizaines de mètres selon les modèles ; </li><li>Le bruit qu'il émet, à prendre en compte pour le confort des occupants, mais aussi pour le bien-être des riverains. Le bruit des pneus peut être plus fort que le bruit du moteur. </li></ul>En revanche, cette étiquette ne donne aucune indication concernant la pression de gonflage. Cette valeur dépend du véhicule sur lequel le pneu ﻿sera monté.

Cette étiquette me permet de connaître :

Il est trop tard pour emprunter la voie de droite. Même si je ne circule pas très vite (50 km/h affichés), la voie de droite est encombrée. Tenter de m'y insérer, même en mettant le clignotant, pourrait être très agaçant pour les usagers qui s'y trouvent déjà... Voire dangereux. C'est trop tard, je poursuis dans ma voie ; je sortirai à la prochaine intersection pour retrouver mon chemin. Réponse : A.

je reste dans cette voie et continue ma route

je serre au maximum à droite avec le clignotant à droite

Je me suis trompé de direction. J'aurais dû emprunter cette sortie :

La chaussée sur laquelle je circule est à sens unique comme l’indique le terre-plein central et personne n'a signalé vouloir me dépasser. Je peux donc suivre la voiture qui dépasse tout en veillant à maintenir la distance de sécurité.

Un piéton est engagé sur le passage pour piétons. Il est donc prioritaire : je dois m’arrêter.

Je circule sur une chaussée à double sens de circulation.

Le marquage au sol blanc à gauche est une ligne continue qui indique que je circule sur une chaussée à sens unique, je peux donc continuer mon dépassement en respectant les limitations de vitesse.

En relâchant l’accélérateur, sans freiner et sans rétrograder, j’utilise la force d’inertie du véhicule. Cela me permet d’abaisser ma consommation de carburant.

Ce panneau indique aux conducteurs que dans 1 400 mètres il y aura deux sorties successives.