La valeur ajoutée correspond à la création de richesse : elle est redistribuée aux différents acteurs ayant participé à sa création. C’est le client, en payant le prix de vente, qui crée le chiffre d’affaires de l’entreprise : il suffit d’y soustraire les consommations intermédiaires pour trouver la valeur ajoutée qui sera répartie entre les salariés, les actionnaires et associés, les banques, l’État, les organismes sociaux et l’entreprise elle-même.

Quels acteurs ne font pas partie des bénéficiaires de la valeur ajoutée ?

Le compte de résultat est composé des charges et des produits d’exploitation (liés à l’activité de l’entreprise), des charges et produits financiers (liés aux opérations bancaires) et des charges et produits exceptionnels (toutes les autres opérations qui ne sont ni liées à l’activité de l’entreprise, ni à ses opérations financières).

Quels sont les produits et les charges que l’on ne retrouve pas dans le compte de résultat ?

L’actif circulant est une composante du bilan comptable. Il représente l’ensemble des éléments qui n’ont pas vocation à rester dans l’organisation : par exemple, les stocks destinés à être revendus font partie de l’actif circulant. Il s'oppose à l’actif immobilisé, qui représente les investissements engagés pour développer l’activité ou la compétitivité de l’entreprise.

L’ensemble des biens durables détenus par une organisation

L’ensemble des dettes dues par une organisation

L’ensemble des capitaux apportés par les actionnaires ou associés

L’ensemble des biens n'ayant pas vocation à être détenus par une entreprise plus d’un an

La valeur perçue se crée à partir d’éléments objectifs comme la qualité des matériaux utilisés, mais également à partir d'éléments subjectifs constitués selon les goûts, les valeurs, etc., des clients. Elle peut se mesurer à travers la notoriété, la qualité, la satisfaction, l’image de marque, l’e-réputation…

De la qualité des matériaux utilisés pour produire un bien ou un service

De quoi ne dépend pas la valeur perçue ?

Le coût cible est une technique qui permet de fixer un prix acceptable pour la majorité des clients. Il faut cependant adapter ses coûts de production et de commercialisation afin de réaliser la marge souhaitée.